widget-member .form-group small a:first-of-type { display: none; }

Différence/ routine et usure professionnelle

Sujet 1 : Peut-on différencier routine et usure professionnelle ?

Que pouvez-vous mettre en place pour les éviter ?

Illustrez vos propos par des exemples concrets.

La routine :

Arriver le matin, prendre le café avec les collègues, « attaquer » les toilettes, regarder l’heure pour savoir si on est « dans les temps ».

Mettre en place le petit déjeuner, puis le déjeuner, aller à la réunion de relève mais ne rien relever, se changer, partir. Bref une journée type répétitive, immuable.

Usure professionnelle :

La même journée type mais vécue différemment, avec ennuie et ras-le-bol. Le burn-out ou usure professionnelle arrive très souvent à certaines personnes étant depuis longtemps au sein d’une structure.

 

La maltraitance peut commencer par des actions ou non actions envers la personne dont on s’occupe. Les personnes vulnérables, mineures, personnes en situation de handicap physique ou mental, les personnes âgées dépendantes, malades, les femmes enceintes, sont dans ce cas soumis à des traitements contre leur grès.

Pour illustrer un exemple d’acte routinier.

Sujet développé sur A.E.S valider le DF1 à DF5 Méthodologie de la note de réfléxion>>

Menu

Etude de Situation n° 1

Des maux à la place des mots Depuis quelques mois, j'exerce la fonction d'A.M.P. dans une structure d'accueil spécialisée dans la maladie d'Alzheimer.

Etude de Situation n° 2

Mon rôle d'Accompagnant éducatif et social n'est qu'une intervention dans la toilette et non pas une violation de son intimité et sa dignité que je respecte profondément ?

Etude de Situation

Est-ce que je dois être plus distante pour lui permettre d'accepter les autres soignants ? Est-ce que je ne rajoute pas de difficultés à son intégration

Etude de Situation n° 4

Quels autres moyens pouvons-nous envisager pour rompre l'isolement de Mme C. ? ces appels de sonnette ne cachent-ils pas une grande détresse morale ?

Je veux rentrer chez moi

Son regard est lourd de tristesse et de reproches. Elle m'avoue alors qu'elle a du mal à accepter de vivre ici, dans «cette unité fermée ».

Histoire de vie

Quand je la vois se déplacer, heureuse, je me dis que tant qu'il y a de l'espoir, il faut essayer,il suffit de le vouloir pour le pouvoir.

Etude de cas AES

Etude de cas , en tentant d’aider Melle I. dans son projet de passer son permis de conduire, j’ai eu peur de la mettre en situation d’échec

Différence/ routine et usure professionnelle

En tant que future accompagnant éducatif et social je me suis posé ces questions : L’appareil de Mme X est-il bien ajusté à sa mâchoire ?

La regression

l’état de Mme B. s’est encore détérioré elle a subi d’autres examens médicaux, il s’avère qu’elle est probablement atteinte d’un cancer du pancréas

Un acte masculin

je ne veux rien « bousculer », j’ai le sentiment qu’ils ont leurs habitudes, surtout dans les actes qui touchent à leur intimité.

Viens lire mes poémes

Ce qui je pense m’a retenu de venir plus tôt lire les poèmes de Mme M. c’est la peur de me rapprocher d’elle, d’avoir trop d’affect, ses joies souffrances.

Une longue épopée

Au bout d’un moment Mme C. me dit tout bas : « Annie ? Oui ? Tu crois que les toilettes sont accessibles ici ? »,

Se voiler la face

je n'aurais pas trouvé les mots qu'il aurait peut-être voulu entendre, donc j'ai préféré faire l'ignorante. Cela est-il mal ? Ou bien ? Je ne sais pas.

Maltraitance

Un lundi où j'effectuais mon service avec ma co-équipière, nous entendons hurler des mots très durs dans la chambre de Madame A

Ne pas toujour faire

Car FAIRE peut rendre une personne dépendante, ne pas FAIRE c'est lui faire garder son autonomie.

La casquette

Il me répond : "pour moi si, car je suis israélite" et il m'explique que dans sa religion, garder sa casquette n'est pas de l'impolitesse

Et alors si on s'aime

ils se retrouvent dans le salon et échangent des gestes tendres. Une dame âgée, assise non loin d'eux, surprend un « baiser furtif »

La Petite Ballade

Il nous faudra à l'avenir plus le surveiller sans pour autant l'enfermer car cet homme a besoin de se promener, de faire son petit tour

La Machine

Elle semble très agitée,. Je mets ma main sur son épaule pour essayer de la calmer Elle s'agite et me dis: « la machine, la machine, arrêtez-la ! »

Les Gifles

Il est 19 heures. Je suis dans la salle à manger du Foyer de Vie où je fais mon stage depuis 15 jours. Je suis entourée du groupe des résidents,

La Charge de Travail

Elle baisse la tête et me répond : « je sais ma petite, je sais... ah, je voulais pas vous déranger »

La Fête d'Halloween

Je réalise alors ma maladresse et celle de l'ensemble du personnel. Je me rends compte que tout ce décors l'affecte vraiment et le met mal à l'aise.

J'ai fait ça toute ma vie

Il semblerait qu'elle n'ait pas bien pris ses repères dans son nouveau lieu de vie. Elle est dans le déni, celui de la perte de sa position sociale.

Mon ennui me pèse

A la fin du repas, je vais le rejoindre dans sa chambre. Il est  allongé et calmé. Je lui demande ce qui ne va pas. A ce moment-là, il baisse la tête et me dit: « Mon ennui me pèse,
1 vote. Moyenne 5 sur 5.

Commentaires

  • CLEMENT

    1 CLEMENT Le 08/04/2012

    Bonjour,
    Je viens de lire les commentaires et j'aimerai comprendre comment les soignants en sont-ils arrivés là ?
    Qu'est-ce que les routines pour eux et SONT-elles nécessaire ? Pourquoi ?
    Merci
    Muriel

Ajouter un commentaire

Anti-spam