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Etude de Situation n° 4

 Il n'était que 7h30 du matin. Mme C. n'arrêtait pas de sonner ce qui m'obligeait à me rendre plusieurs fois dans sa chambre et donc, d'interrompre mon travail auprès des autres résidents.

Elle a toujours quelque chose à demander.
Mme C. est une résidente âgée de 85 ans. Elle vit complètement dans sa chambre et prend également ses repas.
Cette personne est très directive. Dès que j'entre, les ordres fusent.
 
En fait, je me suis rendue compte qu'il était plus facile pour elle de commander que de se déplacer ou tenter de le faire malgré les efforts que cela lui demanderait. Cela est peut-être dû à sa vie passée et à son caractère plutôt autoritaire.
 
J'en étais arrivée à appréhender ses coups de sonnette et entrer dans sa chambre. J'étais envahie par ces demandes répétitives. Cela me prenait beaucoup de temps et elle n'était jamais satisfaite malgré ma bonne volonté.
Avec un peu d'efforts, Mme C. aurait pu retrouver une certaine autonomie après en avoir discuté avec l'équipe médicale et kinésithérapeutes.
 
J'ai donc essayé, à partir de cette information, de l'inciter et la stimuler à faire certains actes à sa portée, bien sûr, et ce à plusieurs reprises, mais à chaque fois sa réponse était la même : « Non, je ne peux pas »
 
Elle passe donc toute la journée en chemise de nuit allongée ou en fauteuil roulant à regarder la télévision dans sa chambre. Elle vit repliée sur elle-même et aggrave sa dépendance.
 
A partir de ce constat, l'équipe soignante a décidé qu'il serait préférable que Mme C. prenne, au moins, les repas à midi, en salle à manger avec les autres résidents. Décision prise dans l'intérêt de la voir s'ouvrir aux autres, de discuter
 
avec les autres patients et de la sortir de son isolement.............
 

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Etude de Situation n° 1

Des maux à la place des mots Depuis quelques mois, j'exerce la fonction d'A.M.P. dans une structure d'accueil spécialisée dans la maladie d'Alzheimer.

Etude de Situation n° 2

Mon rôle d'Accompagnant éducatif et social n'est qu'une intervention dans la toilette et non pas une violation de son intimité et sa dignité que je respecte profondément ?

Etude de Situation

Est-ce que je dois être plus distante pour lui permettre d'accepter les autres soignants ? Est-ce que je ne rajoute pas de difficultés à son intégration

Etude de Situation n° 4

Quels autres moyens pouvons-nous envisager pour rompre l'isolement de Mme C. ? ces appels de sonnette ne cachent-ils pas une grande détresse morale ?

Je veux rentrer chez moi

Son regard est lourd de tristesse et de reproches. Elle m'avoue alors qu'elle a du mal à accepter de vivre ici, dans «cette unité fermée ».

Histoire de vie

Quand je la vois se déplacer, heureuse, je me dis que tant qu'il y a de l'espoir, il faut essayer,il suffit de le vouloir pour le pouvoir.

Etude de cas AES

Etude de cas , en tentant d’aider Melle I. dans son projet de passer son permis de conduire, j’ai eu peur de la mettre en situation d’échec

Différence/ routine et usure professionnelle

En tant que future accompagnant éducatif et social je me suis posé ces questions : L’appareil de Mme X est-il bien ajusté à sa mâchoire ?

La regression

l’état de Mme B. s’est encore détérioré elle a subi d’autres examens médicaux, il s’avère qu’elle est probablement atteinte d’un cancer du pancréas

Un acte masculin

je ne veux rien « bousculer », j’ai le sentiment qu’ils ont leurs habitudes, surtout dans les actes qui touchent à leur intimité.

Viens lire mes poémes

Ce qui je pense m’a retenu de venir plus tôt lire les poèmes de Mme M. c’est la peur de me rapprocher d’elle, d’avoir trop d’affect, ses joies souffrances.

Une longue épopée

Au bout d’un moment Mme C. me dit tout bas : « Annie ? Oui ? Tu crois que les toilettes sont accessibles ici ? »,

Se voiler la face

je n'aurais pas trouvé les mots qu'il aurait peut-être voulu entendre, donc j'ai préféré faire l'ignorante. Cela est-il mal ? Ou bien ? Je ne sais pas.

Maltraitance

Un lundi où j'effectuais mon service avec ma co-équipière, nous entendons hurler des mots très durs dans la chambre de Madame A

Ne pas toujour faire

Car FAIRE peut rendre une personne dépendante, ne pas FAIRE c'est lui faire garder son autonomie.

La casquette

Il me répond : "pour moi si, car je suis israélite" et il m'explique que dans sa religion, garder sa casquette n'est pas de l'impolitesse

Et alors si on s'aime

ils se retrouvent dans le salon et échangent des gestes tendres. Une dame âgée, assise non loin d'eux, surprend un « baiser furtif »

La Petite Ballade

Il nous faudra à l'avenir plus le surveiller sans pour autant l'enfermer car cet homme a besoin de se promener, de faire son petit tour

La Machine

Elle semble très agitée,. Je mets ma main sur son épaule pour essayer de la calmer Elle s'agite et me dis: « la machine, la machine, arrêtez-la ! »

Les Gifles

Il est 19 heures. Je suis dans la salle à manger du Foyer de Vie où je fais mon stage depuis 15 jours. Je suis entourée du groupe des résidents,

La Charge de Travail

Elle baisse la tête et me répond : « je sais ma petite, je sais... ah, je voulais pas vous déranger »

La Fête d'Halloween

Je réalise alors ma maladresse et celle de l'ensemble du personnel. Je me rends compte que tout ce décors l'affecte vraiment et le met mal à l'aise.

J'ai fait ça toute ma vie

Il semblerait qu'elle n'ait pas bien pris ses repères dans son nouveau lieu de vie. Elle est dans le déni, celui de la perte de sa position sociale.

Mon ennui me pèse

A la fin du repas, je vais le rejoindre dans sa chambre. Il est  allongé et calmé. Je lui demande ce qui ne va pas. A ce moment-là, il baisse la tête et me dit: « Mon ennui me pèse,
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