Altruisme
Les aides soignantes sont tenues, sur le plan éthique, de prendre soin des patients et, dans certains cas, de mettre leur vie en danger.
Par exemple, ils interviennent pour arrêter un patient violent pour protéger d'autres patients au risque de subir des dommages physiques.
En outre, ils donnent des soins aux patients atteints de maladies contagieuses et mettant leur propre vie en danger.
En soins aide soignante, l'altruisme est la caractéristique la plus importante de la relation aide-soignante-patient pour obtenir les soins les plus appropriés et un environnement propice à la guérison de leur patient.
Si une l'aide soignante n'est pas pleinement engagée envers son patient, ce dernier peut être sensible à un environnement de guérison régressif entraînant un résultat négatif pour le patient.
Autonomie
L'autonomie dans la relation aide soignante-patient Les soins aide-soignante donnent au patient le droit au consentement éclairé.
Le patient a alors le droit de choisir de subir la procédure ou non.
Ce n'est que dans les cas où le patient est mentalement inapte qu'un substitut de soins de santé ou un avocat est autorisé à prendre ces décisions à sa place. Par conséquent, les adultes compétents ont la capacité de consentir ou de refuser un traitement et les aides soignantes ont l'obligation de respecter la volonté du client, même si elles ont une opinion contraire.
L'autonomie professionnelle des aides soignantes repose sur la prémisse de la centralité du client lorsqu'il prend des décisions discrétionnaires responsables.
Celles-ci devraient refléter les meilleurs intérêts du patient, qu'elles soient faites indépendamment ou sur les conseils de l'aide soignante.
L'autonomie est également une forme de plaidoyer pour le patient afin de s'assurer qu'il prend des décisions bien informées.
Les attributs les plus critiques pour une aide soignante qui considère l'autonomie sont les soins. Un plaidoyer proactif et des relations amicales avec les patients améliorent également la discrétion des patients dans la prise de décision.
Dignité humaine
La profession aide soignante exige la dignité de tous les patients.
Toutes les personnes sont égales et elles méritent le même traitement quels que soient les facteurs externes.
Le principe de la dignité humaine confère à l'aide soignante la responsabilité de traiter tous les patients comme ils traiteraient leurs propres proches s'ils devaient prendre soin d'eux.
Par conséquent, une aide soignante considère que tous les êtres humains méritent et méritent un respect inconditionnel, indépendamment de l'âge, du sexe, de l'état de santé, des facteurs sociaux ou ethniques, des idéologies politiques, de l'appartenance religieuse ou des antécédents criminels.
Intégrité
Les aides soignantes se conforment aux principes d'agir honnêtement, équitablement et éthiquement tout en s'acquittant de leur rôle de prendre soin des nécessiteux.
Ils doivent respecter les normes les plus élevées de professionnalisme et de conduite éthique.
Les aides soignantes doivent en outre être honnêtes envers leurs collègues de la profession et envers ceux qui comptent sur eux.
Les aides soignantes doivent également faire preuve de responsabilité en fournissant des soins sécuritaires et de qualité à leurs patients
Justice sociale
Les aides soignantes sont tenues de respecter la liberté de choix dans les soins de leurs patients, sans compromettre leur dignité.
Les aides soignantes s'efforcent de promouvoir les meilleurs intérêts de leurs clients et s'efforcent d'obtenir les meilleurs résultats.
La bienfaisance implique que les aides soignantes font la promotion du bien pour le patient.
Les aides soignantes doivent également agir de manière non malfaisante pour éviter de nuire à leur patient. En agissant avec compétence et en adhérant à des niveaux élevés de pratique, ils évitent les situations susceptibles de blesser les personnes dont ils ont la garde.
Attitudes et comportements des aides soignantes
Fry, Veatch et Taylor (2010) soutiennent que les valeurs personnelles, telles que le respect, la responsabilité et l'obligation, dépendent de l'attitude morale de l'aide soignante.
Les attitudes professionnelles comprennent des inclinations, des sentiments et des émotions conformes à leurs principes et servant de base à leur comportement.
Le comportement professionnel ou le professionnalisme comportemental se comporte cependant de manière à obtenir des résultats optimaux dans les tâches et les interactions professionnelles.
Les aides soignantes abordent régulièrement des questions complexes d'éthique et de droits de la personne.
Les aides soignantes se conforment à certaines normes de pratique éthique qui guident leurs comportements.
Une révision des codes en 2001 visait à inclure les questions de l'avancement de la science infirmière et reposait sur les opinions et l'expérience d'un large éventail d'infirmières.
Dans les services médicaux, la confidentialité consiste à garder confidentielles les informations relatives au patient.
Les accords de confidentialité lient les aides soignantes à la non-divulgation des informations sur les patients à des tiers sans leur consentement signé.
Les aide soignante ont une conviction personnelle dans le service au public.
Ils estiment donc que leur pratique professionnelle est indispensable à la société et sont enclins à faire de leur mieux. Ils fournissent des services de tout cœur avec peu d'attention sur les avantages financiers, mais plutôt sur l'amélioration de la société.
Responsabilités éthiques qui guident le comportement des aides soignantes
Une aide soignante doit faire preuve de compassion et de respect pour la dignité de la personne.
Il ou elle n'est donc pas limité par le statut économique, les attributs personnels ou la nature de la maladie.
Par exemple, une aide soignante pourrait ne pas être à l'aise pour s'occuper d'un client alcoolique.
Cependant, elle a l'obligation éthique de fournir les meilleurs soins et les plus compatissants possible.
Les aides soignantes doivent toujours être engagées envers le client en tout temps.
Dans le cas où la famille et la communauté sont incluses dans la prise de décision, elle doit être accommodante à leurs idées, même dans les cas où elle n'est pas d'accord.
Après avoir donné les conseils qu'on attend d'eux, les aides soignantes doivent respecter les souhaits du client en la matière.
L'aide soignante doit toujours servir de défenseur du client.
L'aide soignante est également responsable de la protection de la santé, de la sécurité et des droits du client.
Le principe de non-malfaisance peut obliger l'aide soignante à déplacer un patient d'une pièce mal ventilée ou d'une salle d'hôpital encombrée.
L'aide soignante également signaler les abus présumés pour éviter une nouvelle victimisation des patients
L'aide soignante est responsable de maintenir la réputation des soins aides soignantes par sa pratique.
Elle exerce donc ses rôles avec dignité et évite les scandales qui détruisent la réputation de la profession.
Conclusion
Les aides soignantes doivent faire la distinction entre leurs valeurs personnelles et leur éthique professionnelle.
Les valeurs personnelles sont ce que les aides soignantes considèrent comme important et vrai pour elles-mêmes, tandis que l'éthique professionnelle implique des principes qui ont des applications universelles et des normes de conduite qui s'appliquent dans toutes les situations.
Les aides soignantes doivent se souvenir de ces valeurs fondamentales et les suivre au mieux de leurs capacités.
Pendant les bons et les mauvais moments, ils doivent se rappeler pourquoi ils ont décidé de devenir aide soignante et leur vision de ce qu'ils veulent accomplir.
Ils doivent toujours se souvenir de donner la priorité au soin des autres et de traiter tout le monde sur un pied d'égalité.
Une personne qui choisit les soins aides soignantes comme profession fait un choix qui les affectera toute sa vie.
Les aides soignantes évitent ainsi de laisser les jugements personnels obscurcir leurs décisions concernant les soins aux clients.
Ils sont honnêtes et équitables avec les clients et agissent dans leur meilleur intérêt tout en leur montrant le plus grand respect.
Les nouveaux diplômés qui entrent sur le marché du travail doivent également être prêts à acquérir des compétences complexes de pensée critique et à développer des compétences de socialisation suffisantes pour faire face à l'énorme croissance technologique et aux responsabilités attendues dans la profession.
gisele cabre
Formatrice IFSI IFAS
source https://www.syndicat-infirmier.com/Valeurs-personnelles-et.html