Point de vue possible :
Les nouvelles technologies modifient l'acquisition des connaissances et de la réflexion. Cela n'est ni bien, ni mal, c'est une approche différente.
Plan possible
Partie I : les nouvelles technologies modifient l'acquisition des connaissances et de la réflexion.
Arg.1 : accès à la connaissance plus rapide et plus facile (internet, bibliothèques virtuelles...)
Arg.2 : accès au savoir plus démocratisé (les connaissances ne sont plus réservées à une « élite »)
Arg. 3 : réflexion qui suppose de faire un tri dans les informations (au vu de l'abondance)
Arg.4 : Immédiateté de l'accès aux connaissances modifie la démarche de réflexion (moins d'usage de la mémoire, des capacités réflexives, mais une réponse via Google, sorte de « béquille », de plus en plus jeune)
Arg.5 : rapport différent avec enseignants , moins savoir et apprenants mais échanges entre les élèves et les professeurs)
Partie II : Approche différente de l'accès à la connaissance
Arg.1 : inconvénient : mémoire à court terme (information rapide et éphémère) et réflexion qui peut sembler moins approfondie.
Arg.2 : inconvénient : problème de concentration, réflexion plus difficile à instaurer
Arg.3 : Besoin d'une « aide » technologique, risque de difficulté d'adaptation
Arg.4 : mais davantage de curiosité (suscitée par le genre d'outils) et un apprentissage plus précoce
Arg.5 : mais offre un éventail de possibilités plus étendu (car accès à la connaissance plus vaste)
Arg.6 : favorise la réactivité, la rapidité, la recherche
Extrait rédigé (partie 1)
Les enfants qui naissent aujourd’hui arrivent dans un monde où les technologies de l'information et de la communication s'intègrent et prennent une place prépondérante.
Ce constat conduit à un changement quant à l'acquisition des connaissances chez les enfants et plus largement les jeunes.
En effet, l'outil numérique permet un accès au savoir nettement plus rapide, quasi immédiat.
D'usage plutôt aisé, une fois l'outil maîtrisé, cela permet via les bibliothèques virtuelles et autres données d'informations, d'accéder à une connaissance quasi illimitée, dans des domaines culturels variés et riches.
Le professeur et le livre, autrefois acteurs essentiels de la transmission du savoir, laissent la place à la toile et au clic.
Ainsi, les jeunes forgent une réflexion sans toujours prendre le recul nécessaire, avec une utilisation peut être moindre de la mémoire mais une aptitude plus grande à évaluer et à trier les informations.
On pourrait alors se dire que le rapport apprenant-enseignant se modifie.
L'un n'attend plus forcément de l'autre un savoir mais plutôt un partage et un échange autour du savoir pour construire une réflexion qui semble plus au fait d'une réalité présente.
On pourrait parler d'une capacité de réactivité.