Si l'accusation a lieu en public, parmi des gens qui ne connaissent pas la personne, leur expliquer que cette personne est nerveuse et qu'il n'y a rien à craindre.
- Ne pas faire de reproches à la personne ses accusations et insultes.
- Ne pas lui refuser son affection.
- Évaluer le danger de la situation tout en demeurant calme
- déterminer les risques pour la personne ou pour les autres.
- Ne pas discuter ou réagir avec colère, cela ne crée qu'une escalade.
- Ne pas faire de remarques humiliantes. '
- Donner des consignes claires.
- Par exemple, lui dire calmement mais fermement de cesser.
- Faire une diversion dés le début.
- Lui demander de regarder derrière elle ou par la fenêtre.
- Éliminer le facteur déclencheur.
- Enlever les objets dangereux à sa portée.
- la Rassurer la personne en lui disant qu'on l'aime et qu'on est là pour l'aider.
- Reconnaître, selon le cas, que la situation était frustrante.
- Utiliser l'humour pour la distraire.
- Quitter la pièce quelque temps. La personne oubliera sa colère et sa frustration.
- Si la personne est très violente, approcher d'elle lentement afin qu'elle ne croit pas être agressée.
- S'approcher par l'avant, car sa vision latérale est diminuée.
- Se placer prés de la porte afin de pouvoir sortir plus rapidement en cas de danger.
- Si l'on craint d'être agressé, mettre une chaise entre soi et la personne.
- Demander de l'aide si besoin.
- Ne pas abuser inutilement des contentions.
Si elles s'imposent, en expliquer les raisons à la personne, la surveiller, la visiter souvent pour la surveiller, pour relâcher périodiquement les contentions, pour lui parler et la calmer.
- Ne pas punir.
- Ne recourir à la médication que dans l'extrême agressivité.
Tenir un journal des périodes d'agressivité indiquant le moment de la crise, ce qui semble l'avoir °déclenchée, ce qui a été fait et ce qui l'a calmée.
- Après l'accès d'agressivité, éviter de lui faire des reproches.
- Rassurer la personne et lui manifester notre compréhension de ses difficultés.